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À l'Ouest le vent souffle toujours

Dossier de production

PDF disponible sur demande

SYNOPSIS

Quatre hommes, fatigués et crasseux, cherchent de l’or en plein désert. Ils dorment et mangent au pied d’une montagne, au milieu de bâtisses abandonnées d’où la vie s’est retirée depuis longtemps déjà.

Un jour, surgit du désert une femme, belle et mystérieuse. Elle ne fait que passer parmi ces hommes, à la recherche de son fils, mais son passage fera ressurgir en chacun d’eux, leur caractère profond et la question du pourquoi qui révélera leurs démons et les mènera vers leurs fins.

CASTING

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Allan : Guy Amram

Léonard : Luis Costa

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Marie : Camille Verschuere

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Sam : Nicolas de Lavergne

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Jo : Jonathan Pineau Bonetti

DÉCORS

Le plateau de tournage se situe dans le désert de Tabernas en Andalousie, à 30 minutes en voiture de Almería.

NOTE D'INTENTION

À l’Ouest le vent souffle toujours est un court-métrage qui se déroule au milieu du désert semblable au grand ouest américain, dans un décor de western.

L’action se situe à une époque indéterminée dans une ville à l’abandon. Le film se construit en cinq séquences comme un poème se constituerait de cinq strophes.

 

La trame narrative est constituée d’une séquence d’introduction et de quatre séquences principales rythmées chacune par un moment de la journée (aube, jour, crépuscule, nuit) et la lumière spécifique qui va avec. Dans chacune de ses séquences se met en place un dialogue entre le personnage de Marie et l’un des quatre personnages masculins.

 

Même si le film est construit autour d’une trame narrative, cette dernière n’est que secondaire. Ce qui importe est la symbolique que porte les personnages et le dialogue qui s’établit entre chacun des protagonistes et Marie. Marie est le seul personnage féminin du film ; à la fois inquiétant par son mystère et bienveillant par sa douceur. Il est le symbole de la féminité aussi bien sur un plan humain que divin. C’est au travers d’elle que se révèle l’âme de chacun des hommes.

 

Le désert et le vent constituent un personnage à part entière qui doit se ressentir en tant que tel à l’image et au son.

 

Le son doit retranscrire la puissance de l’enfermement du désert symbolisé par le souffle du vent. Les silences entre les personnages doivent amplifier cette symbolique.

L’image quant à elle doit retranscrire la petitesse de l’Homme dans la vastitude du désert. Le désert est à la fois une prison et un horizon qui donne l’espoir d’une fuite vers un avenir meilleur.

 

Ce film a été inspiré au croisement d’un rêve et de la lecture d’un poème. Les quatre différents moments de la journée servent à amplifier la symbolique du dialogue mis en place en créant une ambiance spécifique à chaque personnage masculin ; mais la temporalité globale du film doit rester floue pour laisser l’imaginaire se développer et non l’enfermer dans une structure narrative classique.

 

Le film doit se tourner dans une partie des décors mythique de Fort Bravo. Même si le film reprend les codes vestimentaires et les décors du genre du western, il ne se veut pas un pastiche. Le lieu et les décors doivent servirent la portée onirique du récit tout en rendant hommage aux studios qui ont vu naître l’âge d’or des westerns spaghettis.

               Poème qui a inspiré l’histoire

Le Far West interstellaire m'attire,
Les oiseaux floués nous regarderont passer
Dans un grain de lumière.
A genoux sur la terre, un tourbillon m'aspire,
Sans le corps qui me sert de litière
Je plonge dans un grain de poussière,
Ma chute est infinie !
L'infiniment grand et l'infiniment petit sont
L'Eldorado des temps nouveaux et les nouveaux
Aventuriers s'appellent : savants !
Les savants qui ne savaient pas, ou si peu,
Qui savent maintenant et qui sauront toujours
Plus et plus encore...
Pour savoir quoi finalement ?
Le Far West interstellaire m'attire,
Dans un grain de poussière,
Ma chute est infinie.
À temps nouveaux, nouveaux Dieux !
Mais pour y croire vraiment
Il faudrait l'ami retrouver le sang,
Changer en flûte le poignard
Qui a volé le chant,
Tranché la gorge de l'enfant

                                                (Auteur inconnu)

BIOGRAPHIE DU RÉALISATEUR

Nicolas Gans


Nicolas Gans, né le 24 février 1984 à Paris, est un cinéaste français. Autodidacte, il se forme en réalisant et montant divers projets courts.


Il réalise en 2007 son premier documentaire, un 52 minutes intitulé "Talibés - Le temps d'un échange" qu'il tourne dans

les bidonvilles de Saint-Louis du Sénégal.
 

En 2013, il termine le montage de son second documentaire intitulé "Le Degré 6 du Voyageur". Ce long-métrage de 120 minutes retranscrit un voyage fou qui l'a mené, avec un compagnon de route atypique, sur les routes d'Europe de l'Est, d'Inde et des États-Unis.

En 2014, il crée sa boîte de production, Orbis Films, afin de proposer son travail au public via son site.

 

Il travaille parallèlement sur divers projets courts (clips, institutionnels, captations).

 

Pour voir son travail, rendez-vous sur nicolasgans.com.
 

 

ÉQUIPE TECHNIQUE

ET

BUDGET PRÉVISIONNEL

Équipe technique et acteurs :

 

- 1 Réalisateur

- 5 Acteurs

- 1 Assistant-réalisateur

- 1 Chef opérateur

- 1 Assistant-caméra

- 1 Chef décorateur

- 1 Ingénieur du son

- 1 Maquilleuse

- 1 Régisseur

Budget prévisionnel : 57 835 €

Comprenant 2 jours de préparation plateau, tournage de 4 jours, 20 jours de post-production, défraiement et salaire pour une équipe de 13 personnes.

Tous les détails dans le dossier de production téléchargable ici : 

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